Une entrée fracassante

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[ La banque de sang - Un retour dans la ville un peu brutale ..]

Après avoir longtemps marchée dans la ville, Mallory était arrivée au porte d'une immense discothèque dont les néons indiquaientt en lettre lumineuse le nom de " l'Insomnia ". La nuit était tombé il y avait un bon quart d'heure déja. Mallory avait marchée quasiment tout l'après midi depuis sa sortie de la banque de sang pour en arriver là. Au laboratoire, on lui avait confisqué toutes ses armes exepté l'épée du vampire qu'elle avait gardé précieusement sur elle on ne sait pourquoi ..

Devant les lourdes portes noirs se tenait deux gros baraqués dont leurs airs ne pouvait indiquer que deux imbéciles sans cervelle bourés de muscles en béton. Mallory marcha en leurs direction, bousculant les quelques personnes qui faisait la queue pour arriver à leur niveau ..enfin au niveau de leurs torse bombé on va dire ...

Un des videurs lui dit alors d'une voix grave digne des plus grand bariton :

" On fait la queue comme tout le monde ma mignone "

Quelque minutes plus tard, au loin, on entendit un grand BOUM résonner dans tout le voisinage. Mallory avait en quelque sorte attrapé le grand dadet par le col pour l'envoyer valser dans les poubelles en un allé simple ..

Elle se retourna cette fois ci vers le deuxieme videur, qui celui ci, docilement la laissa passer, ne tenant pas à finir comme son pote parmi les détritus nauséabondes.

La jeune femme entra ainsi dans la discothèque, marchant d'une démarche droite et fière, ses cheveux roux dansant sur ses blanches épaules. La discrétion n'était vraiment pas son fort et une fois de plus son entrée 'fracassante' avait animé la curiosité de certains, laissant une vague de chuchotis déferler à son encontre. Tous les regards semblaient tournés vers elle, mais cela ne la gênait point, non d'ailleurs c'était son but, faire parler de soi, en espérant voir son nom s'élever parmi le rang des immortelles vu le projet qu'elle préparer..

Elle alla s'assoir au bar, demandant une chope d'hydromel au barman et commenca à scruter les alentours, à la recherche d'un quelconque immortelle ..

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cachée dans l'ombre.... Une homme en train de l'embrasser dans le coup tandis que sa main un peu vagabonde visitait son corps. L'entrée de Mallory avait effectivement eut sn petit effet. Elle qui venait en quête d'autre immortel, il semblait bien qu'elle était servie.

Arrivée par la route un peu avant, cela faisait plus d'une heure qu'elle supportait les halenes fétide des divers homme ivre afin de se masquer derrière eux. elle observa attentivement Mallory. Elle était immortel, c'était évident. Mais elle ne parvennait pas à determiner quel était sa race.

Elle repoussa la main de l'homme d'un geste négligent, se désinteressant complètement de lui pour se lever et avancer vers Mallory. L'homme lança un "hé", mais fut vite calmé par le regard foudroyant de colère qu'avait Merena en e regardant.

Elle continua à avancer vers Mallory. Elle vint s'assoir juste à coté d'elle, prenant une pose osé qui aurait fait trembler un prêtre, et demanda un jus de cerise au barman. Il la lui posa devant elle.

Merena le prit, et tou ten le buvant lentement, se tourna vers Mallory.

"Tu as le chic pour te faire remarquer toi...."

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Mallory considéra son interlocutrice pendant un instant, la dévisageant de haut en bas. Il s'agisait d'une très belle femme aux long cheveux ondoyant. La pose qu'elle prenait était très révélatrice sur sa personnalité, séductrice et provocante mais ceci n'était surment qu'une surface parmi tant d'autres..

Après avoir repris une gorgée de son nectar, Mallory répondit à cette dernière d'un ton calme et posé :

" En effet "

Elle marqua une courte pause, son regard d'un gris pale semblait perdu dans le vague lointain. Cette étrangère dégageait une aura qui ne lui était pas tout à fait indifférente ! A première vu, ce ne devait pas être un vampire, non, ni un hybride d'ailleurs.. Il ne pouvait s'agir alors que d'une lycanne. Après une deuxième gorgée, Mallory reprit alors, toujours sur le même ton :

" Pourrais je connaitre ton nom ? Pour ma part, tu peux m'appeler Mallory, Mallory Nelsen .."

Tout autre personne aurait vu cela comme de la pure folie, révéler ainsi son identité à une incconue sans aucune raison valable et sans même avoir était demandée mais pour Mallory c'était une toute autre histoire, son but n'étant pas de rester éternellement dans l'ombre, elle l'avait fait en toute sérénité, sans même avoir peur des conséquences futures

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Ses lèvres rougis par le jus semblait bien plus pulpeuse qu'à l'origine. Merena observait calmement Mallory. Un peu surprise que son nom complet lui fut donné, elle ne put résiser à la tentation.

"Je me nomme Merena."

Elle sembla réfléchir un instant. Après ce qui semblait être une grande réfléxion pour les autres, elle reprit.

"Tu es une hyrbide n'est-ce pas ? je n'en suis pas sûre, mais je pense que tu n'es pas une vampire en tout cas."

Elle reprit une gorgé, laissant volontairement un peu de jus s'écouler sur le coin de ses lèvres. Tout en regardant le barmae, elle passa lentement sa langue sur la trace afin de l'effacer. L'homme cru bon d'aller voir plus loin, afin d'éviter toute confusion dans son travail.

'Mallory, c'cest un vieux nom... Tu ne dois pas être de cette époque également ?"

Disant cela elle se tourna vers la salle, ou certain dansais, s'embrassait et parfois même plus.. Le tout autour d'une cigarette ou d'un verre d'une boisson quelquonque.

"Je pense que toi non plus, tu n'aimes pas cette race de dépravé, pourriture de résidu de ce qu'elle était autrefois ?"

Sa voix avait été méprisante lors de sa dernière phrase, et son regard aurait put tuer quiquonque le croisait. Puis elle se tourna vers Mallory, reprenant une pose moins provoquatrice, mais suffisante tout de même pour mettre en valeur ses atouts...

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Mallory parraissait troubléé lorsque la jeune lycanne évoqua l'éthymologie ancienne possible sur son prénom, mais d'ailleurs qui le lui avait il donné ? Nelsen ne fut jamais son vrai nom, mais juste un nom parmi tant d'autre pour venir comblé cette identité à " trou " car depuis toujours, Mallory était née avec seulement un prénom et aucun souvenir de la personne qui le lui avait attribué. Toutes ces questions intérieurs résonnaient en elle et la touchait au plus profondement. Elle ne s'était jamais posé la question mais en y pensant, d'où venait elle ?? Cette presque incconue avait su la dérouter par une simple remarque, la remmettant en question.

Mallory tenta de chasser toutes ses voix intérieurs qui lui mumuraient .. des reproches ! Toutes semblaient lui demander des comptes, pourquoi, comment, voila les mots principales que sa conscience ne cessait de lui souffler. Elle secoua légèrement la tête comme si ses voix allaient s'arrêter d'elle même et se replongea dans la conversation qu'elle avait entreprise avec la lycanne pour ne plus y penser..

" Tu as vu juste, je suis ce qu'on peut appeler une hybride. Pour ma part, je n'aime guere les vampires, ces êtres qui se croit supérieur à tous pour juger les hybride comme des abbérations de la nature alors qu'ils ne valent pas mieux .."

La dernière rencontre qu'elle avait eu avec leur chef lui revenait en quelque brindille de souvenirs désagréable telle un flashback. Elle revoyait encore la scène, les deux vampires, la traitant d'abbération de la nature ne méritant pas la vie ...mais qu'étaient t-il pour parler ainsi ? oui, rien qu'une race de dépavré comme le disait si bien Merena

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Merena n'avais pas semblé remarquer le dilemme qui se passait dans l'esprit de Mallory. Elle regarda à nouveau la salle bondé, empli de fumée et d'une odeur de sueur. Elle prit un grande inspiration, comme si elle voulait aspirer autant que possible l'ambiance de cette pièce. Sans regarder Mallory, elle reprit.

"Le plus effrayant dans cette histoire, c'est que sans eux, nous ne serions pas là."

Cette phrase avait été dite comme un proverbe, tout en en éétant pas un. Merena avait un regard amusé en regardant ces humains.

"Autrefois, j'était princesse... Et maintenant je suis une lycanne. Je n'aurais jamais connu cette époque si je ne l'était pas devennu. Je n'aurais pas vu le monde changer. Peut être aurait-ce été aussi bien."

Elle se tourna vers L'hybride, et avec un air tout particulièrement sérieux lui dit :

"Autrefois, les vampires et les lycans n'était pas comme ça non plus. Je ne pense pas que le vrai problème vienne d'eux... La plupart sont faible et se sont laissé entrainé par la masse. Trop de nouveau infant sont né et ont influencé sur la politique des immortels..."

Son regard repassa sur les humains.

Elle murmura presque, mais suffisament fort pour être entendue

"Le vrai problème, c'est eux..."

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Mallory laissa échapper un rire froid et cynique à la dernière remarque de la lycanne. Que c'était amusant de voir qu'on cherchait toujours un bouc emmissaire autre que soit ! Les humains ... Mais pourquoi pas après tout ! eux qu'on disait toujours insignifiant et frêle pourraient très bien être la cause de tout, mais quoi après ?

Après un long moment de reflexion, Mallory regarda la lycanne, plongeant son regard aux reflet argenté dans les siens et lui dit d'un ton presque grave et inaudible :

" Mais toi, que viens tu faire içi ? As tu un quelconque but dans cette ville ? Vois tu je ne supporte pas qu'on me traite comme une clandestine, une batarde comme ils disent rien que pour le fait d'exister ! Les vampires ont peur de nous juste parce qu'il semblerait que nous soyons plus fort qu'eux .. ahh, la peur de l'inconnu, la peur dêtre plus faible ... pitoyable en somme mais que veux tu "

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Un sourire malsain se dessina sur le visage de Merena. Elle semblait s'être attendu à un moment ou un autre à cette question. Sans changer de position, tout en gardant le regard fixé sur celui de l'hybride, elle repondit d'une voix mielleuse qui avait fait sucomber plus d'un homme.

"Les batards ne sont pas toujours ceux que l'on croient... Oui bien sur la peur de la perte de leur pouvoir est grande. Les vampires ont depuis longtemps dominé le monde des immortels, mais leur pouvoir s'arrète là ou le soleil se lève..."

Elle reprit son observation de la salle. D'un geste rapide, elle sortit une cigarette qu'elle aluma tranquilement. Elle tira une latte, et recracha un nuage de fumée dans les airs avant de se tourner à nouveau vers Mallory.

"Mes motivations me sont encore partiellement inconnu. Je sais qu'il y à nombre d'immortel dans cette ville, et j'ignore encore comment je serais accueillit ici. J'ignore ce qui me pousse à venir ici. Je cherche quelque chose, ou quelqu'un."

Son regard devint intense et sincère.

"J'ai besoin d'un maître... De quelqu'un qui puisse guider mes pas ici. Je veux accomplir des tâches qu'on me donnera, sans réfléchir à leur conséquence. Et il es possible que je l'ai trouvé."

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<=== Les ruelles

Sortit de sa ruelle fétide, la mine blasée et sombre, Philippe parcourait à présent une longue avenue qui lui était vaguement familière...

Une forte musique se faisait entendre , et Philippe ne tarda pas à passer devant une grande discothèque en bordure de rue. L'insomnia...

Quelques images revinrent en un éclair à la mémoire du novice. L'insomnia, cette discothèque où lui et Kathleen avaient décidé de prendre en filature ce vampire, après l'avoir suffisemment truffé de plombs pour qu'il les guide jusqu'au repaire des "sangsues", comme disait le père Constant... C'est lors de cette nuit que sa chère et tendre Kathleen l'avait étreint pour la première fois...

Doux souvenir...

Philippe fut doucement tiré de ces rêveries par le gromellement sonore de deux énormes individus équipés de badge. Les videurs de la boîte. L'un deux était assis contre le mur tandis que l'autre lui collait grossièrement un pansement sur le crâne.
Les discussions allaient bon train dans la foule attroupée autour d'eux. Une jeune femme, un rouquine, aurait violement éjecté le type dans les poubelles de la rue voisine... Alors qu'elle lui arrivait sous l'aisselle...

Bien sûr, ça ne faisait plus de doute ! Les immortels avait la ville à leur botte, et il n'y avait pas beaucoup d'endroit où savourer leurs misérables vies nocturnes. Ils devaient forcément venir se détendre ici à intervalle régulier. Et quel meilleur endroit pour paraître anonyme qu'une salle bondée pleine de drogués et de dépravés ?

Dans la tête de l'amalanthien germa tout doucement une idée qui fleurie en obsession. Il voulait absolument se remettre en scelle le plus vite possible, et il voulait nuire aux lycans plus que tout. Peut être pourrait il en apprendre plus long sur la nature de cette alliance dont il avait entendu parler...

C'est avec cette curieuse idée qu'il entra dans la discothèque, son sac à la main.
Le son se fit assourdissant, comme une explosion de bruits dignes des plus mauvais joueurs de casseroles. Il lui fallut quelques minutes pour s'habituer au rythme d'enfer qui lui faisait battre le coeur plus vite que de raison.

Il parcourut la salle d'un regard vide, uniquement axé sur la recherche d'immortels. S'ammassait devant ses yeux une foule de dépravés qui s'amusaient en dansant comme des singes, en se becontant outrageusement, allant même jusqu'aux attouchements pervers, où bien en s'habillant comme les dernières des catins pour les femmes et en misérable junky pour les hommes...

Philippe avait horreur de ces endroits...

Puis son regard se figea sur deux femmes dont les couleurs de cheveux faisaient échos à sa tignasse auburn. L'une d'elle se tenait au bar, en train de fumer une cigarette, avec un regard de prédateur qui défiait tout individu mâle de venir la prendre, tout de suite... Une allumeuse... Mais elle donnait dans ses gestes l'impression d'une totale confiance en elle, une totale maîtrise de soi. Plus encore, l'oeil avertit devinait sans peine que le mâle qui osait bravé son regard se brûlerait réellement, et finirai la soirée avec plus qu'une bonne baffe...
Quand à l'autre, elle paraissait calme et sereine, assise au bars comme si de rien n'était, ne lançant que de brefs regards amusés à la foule d'allumés qui dansait pompeusement en état d'ébriété certaine...

Il ne fit aucun doute dans l'esprit de Philippe que les deux jeunes femmes n'était pas humaines... Pour commencer, toute les deux repondaient à la description de la "folle" qui avait envoyé valdinguer un des cerbères dans les poubelles. Ensuite, plus que par leurs gestes évocateurs, les deux femmes semblaient irradier d'une aura mystérieuse que les amalanthiens apprenaient à reconnaître à leurs dépends...

Mais il ne pouvait en être sûr, c'était peut être juste son obsession pour cette histoire d'alliance qui lui stimulait son imagination.
Il lui fallait s'en assurer.

Il franchit la foule de badauds en jouants des coudes jusqu'au bar, où il s'instala à quelques mêtres des deux créatures, coincé entre deux plier de bar, pour mieux les observer sans attirer l'attention...
Il commanda un soft drink, prétextant un long voyage en voiture quand le barman lui jeta un regard qui en disait long sur l'opinion qu'on avait des types qui ne buvaient pas ici, et tout en sirotant sa commande, il épiait les deux femmes, attendant n'importe quel signe qui pourrait le conforter dans ses convictions...

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Mallory avait la sensation d'etre épiée.. Pendant un instant on eut cru qu'elle allait bondir de la table et attrappait le premier malheureux qui aurait croisé son chemin, mais il n'en fut rien et elle garda la meme position, toujours aussi calme et sereine comme si aucun sentiment ne pouvait l'effleurer. Jetant un ou deux regard au alentour du coin de l'oeil, elle oublia tres vite ce malaise pesant, pensant qu'apres tout, son entrée pouvait tres bien attiser les regards apres tout.

Elle replongea son regard sur la lycanne, ecoutant ses dernieres paroles emplies de mystere. Mallory ne savait pas encore ce que cela pouvait signifier mais elle allait tres bien vite le decouvrir..

Apres avoir termine son verre d'une traite, elle le reposa sur le comptoir et la, son regard d'opale croisa celui d'un mortel à la tignasse auburn ..

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Cela faisait plusieurs heures que kath était poussé à travers la ville par une force invisible. L’emprise de son sir était vraiment de trop, mais elle n’arrivait pas à lutter contre, et c’est pour cela que sa cruauté était à un niveau incroyable.
Elle repris connaissance devant une boite de nuit, le genre d’endroit qu’autrefois la lycane n’aurait pas supporté d’entrer, mais avec cette nouvelle vie elle avait gagné de l’assurance … mais à quel prix…

Elle se tenait devant l’entrée ou un gros balaise qui exhibait ses muscles ruisselant d’huile, la regardait d’un air inquiétant, ou plutôt totalement ridicule… Il avait un air bovin…

Elle s’approcha et se planta devant lui… et le renifla…

« Pauvre petite chose, comment se fait-il qu'une masse aussi imposante puisse avoir un cerveau aussi « petit »… »

Elle avait gardé son sarcasme mais cela pouvait lui apporter beaucoup de problème. L’homme très vexé, ou plutôt qui n’avait pas vraiment comprit, lui dit …

« Bon tu rentre ou je te botte les fesses..; »

Kathleen explosa de rire et entra, franchement il ne manquait pas de répartit….

*vraiment minable*

Elle fut très rapidement plongée dans une foule dense et puante, toutes ces personnes qui se trémoussaient lui faisaient apparaître l’image de pantins désarticulés…

Elle essayait de se frayer un chemin parmi les marionnettes…

*Ils appellent cela l’insomnia…le cirque serait plu s approprié…*

La chaleur qui régnait dans cet endroit, faisait penser au fer forgé des forges d’Héphaïstos…. La sueur qui perlait sur les visages dénaturés de ses clowns, donnait un air morbide de vieux sanctuaire vaudou…
Soudain elle sentit une odeur qui n’était pas commune, tous ses sens semblaient exacerbés… Odeur familière de race lycane, et une autre qui flattait les narines délicates de l’ancienne parapsychologue…

Elle stoppa soudainement sa progression difficile et resta planter là comme une statue de marbre, blanchit par la poussière du temps…

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Merena ne fit pas attention à l'homme qui était entré et c'était assis à coté d'elles. Elle préférait attendre de savoir ce qu'allait dire Mallory. En attendant, elle fumait tranquiement sa cigarette, en des geste qui faisait envier la plupart des hommes la regardant.

Merena n'était certe pas d'une grand discretion, mais la plupart du temps, les hommes s'en souvennait comme un objet de sexe, un chaton qui aimer jouer à toutes sorte de jeux que les gens convenable n'envisage même pas....

Mais Merena n'était pas convenable...

Tandis qu'elle réfléchissait, jouant du regard à faire frémir les mâles, tout en buvant son jus de cerise dégoulinant sur le coin de ses lèvres, l'odeur lycanne se fit sentir. Merena la reconnu parfaitement, mais elle n'était pas forte.... Elle semblait si jeune....

Merena parcourut du regard l'assemblé avant de tomber sur cette fille figé. Elle devait probablement découvrire tout juste le monde des immortels, et elle en rencontrait à nouveau...

Dieu, que maudit soit son nom, seul pouvais savoir ce qui lui était arrivé.

Sans un mot, Merena laissa là son verre et allât rejoindre cette enfant perdue.

"Bonsoir à vous, jeune lycanne."

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Kath vit avancer vers elle une femme, mais pas n’importe laquelle, elle était belle et sexy, elle semblait ne pas avoir de mal à être bien dans sa peau… Elle donnait l’impression, par son allure attirante, de sortir tout droit de ces endroit ou les hommes ne sont plus que désir … mais elle n’avait l’étoffe d’une femme soumise loin de là, rien que ça démarche traduisait une assurance certaine, et un fort caractère de domination…

Kathleen, était effectivement une jeune lycane, sortit il y a peu du nid de l’humanité pour s’envoler dans l’ombre de l’immortalité… Elle se tourna vers sa semblable et lui sourit…

« Bonsoir… contente de rencontrer une des nôtres, je commençait à étouffer de cette odeur d’humain… »

Elle regarda autour d’elle tout en prononçant ses mots….

« Je suis Kathleen… »

Elle regarda encore et encore autour d’elle, quelque chose la dérangeait véritablement. Elle avait l’impression que son cœur se serrait comme dans un étau. Elle essayait de rester concentré sur la femme qui l’avait abordée, mais rien ni faisait…

*Pourvu que mon grain de folie ne fasse pas surfasse maintenant*

Mais il n’en était rien, pour le coup c’était tout autre, et vraiment très différent. Soudain son regard se posa sur un jeune homme…

Le sol semblait se dérober sous les pieds de la jeune lycane, mais ce tremblement venait de son esprit qui s’entre choquait à sa boite crânienne…

Cela était-il possible que de tels sentiments, réactions pouvaient encore refaire surface avec temps de force… Elle regarda encore la femme avec toute sa volonté pour résister à l’emprise de tomber dans les pommes…
Elle secoua la tête légèrement et ferma un instant les yeux, comme pour exorciser ses démons…

« Philippe »

Dit-elle dans un murmure inaudible…

Il y avait combien de pourcent de chance de le revoir et aussi rapidement, c’était comme une recherche scientifique et un livre de cuisine, les recettes réussissent toujours… Enfin presque… Il suffisait d’aller dans un endroit que chacun d’eux ne supportaient pas … La nature humaine est aussi complexe

Était ce un rêve, Se confronter à une réalité cohérente. Une création que vous savez ne pas être à votre portée. Des poèmes à la Prévert dans un recueil déposé à votre chevet….

« Mon dieu mais qu’Est-ce qui m’arrive ? Je vous demande pardon très chère j’ai l’impression que ma tête va explosée… »

Bishop sourit bêtement, elle sortait doucement de cette torpeur qui l’avais emmener jusqu’à tester le rêve de la réalité…

Peut-être fallait-il simplement qu’elle se pince pour comprendre que tout n’était justement que réalité…

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Une des deux jeunes femmes croisa le regard du novice. Ses yeux pétillants transpèrcèrent de part en part le jeune homme qui, prit d'une brève panique, rougit.

S'en voulant pour son cruel manque de discrètion, Philippe posa les yeux sur sa limonade, ou ce que l'on tenait à faire passer pour de la limonade dans ce rade miteux. Il sentit la vague de châleur de l'embarras transcender son visage et il fit du mieux possible pour le cacher, se tassant encore un peu plus sur son siège.

Il fut "sauvé" par la deuxième femme, l'allumeuse, qui se sépara du bar pour s'enfoncer surperficièlement dans la foule, vers quelqu'un d'autre. Celà lui donna l'occasion d'échapper au regard pénètrant de la belle rousse en se mettant dos au bar de façon décontractée, comme si de rien n'était.
Se faisant, prenant bien soin de ne plus jeter de regard à la suspecte immortelle, il en profita pour observer l'autre jeune femme, qui s'était dirigée vers une autre rousse... Encore une, à croire qu'elle formait un club privé...

Mais en détaillant mieux la scène, il ne put s'empêcher d'étouffer un juron. La nouvelle... On dirait presque... Mais c'était une chose impossible, kathleen était morte, et il l'avait tenu dans ses bras au moment où elle rendait l'âme... Ce ne devait être qu'une impression...

Dans l'atmosphère pleine de fumée et de relent de sueur, il essaya de porter son regard au delà de l'épais brouillard, à travers la foule en liesse. Son coeur se serrait à chaque fois qu'il appercevait la nouvelle. Elle lui ressemblait tellement. Même de loin et à travers toute cette fumée on aurait put la confondre avec Kathleen...

Kathleen...

Philippe ne c'était même pas apperçut qu'il était devenu livide. Il se sentait horriblement mal à l'aise et en sueur. Tant pis pour les infos, il fallait qu'il s'en aille, qu'il ne laisse pas ressurgir toute sa douleur alors qu'il était dans un bars fréquenté par des immortels qui n'attendaient que ça... Ilse remit en position devant le bar, et se pencha sur le côté. Il farfouilla vivement dans son sac et en sortit un petit tube blanc. Des antis dépresseurs, le médecin les lui avait conseillé... Il ouvrit en vitesse la boîte puis en extirpa deux petites pillules qu'il déposa sur le bar, à côté de sa limonade...

Le barman lui jeta un drôle de regard, moitié amusé,moitié interloqué tandis que l'amalanthien engloutissait ses médocs et sa boisson à la vitesse de l'éclair. Philippe expira un grand coup une fois son verre finit. Dans cinq minutes, les pillules allaient faire effet et il se sentirait bien mieux, mais en attendant, il devait sortir d'ici avant de ce sentir encore plus mal. Il remarqua que le barma alors que ce dernier lui adressa un signe de tête réjouit par sa nouvelle attitude. Il s'approcha d'ailleurs du novice avec une mine conspiratrice, l'essuie verre sur l'épaule.

" Si tu veux, j'ai de quoi t'envoyer au septième ciel rien que pour vingt livres..."

Philippe posa sur lui un regard inexpressif qui sous entendait un profond dégoût et sortit de sa poche un billet qui glissa sur le bar.

" Gardez la monnaie..."

L'amalanthien se leva d'un band, prit son sac et essaya de s'esquiver le plus vite possible. Il ne fit même pas attention à l'immortelle du bar qu'il bouscula avant de laisser s'échapper un petit "pardon". Il joua des coudes pour franchir la masse humaine qui s'interposait entre lui et la sortie, fuyant comme la peste ce lieu de perdition qui commençait à lui donner des hallucinations.

Une fois qu'il eut franchit les portes à toute vitesse, il soupira de bonheur de se retrouver dehors à l'air libre. Il fit quelques pas, juste de quoi s'éloigner de la musique du diable qui filtrait à travers les murs de l'enceinte pour se déverser dans la rue, et il aspira une grande goulée d'air, les yeux fermés.

Kathleen... Dans une minute ou deux maintenant, les souvenirs allaient disparaîtres, ils retourneraient se tapir dans un coin obscur de sa mémoire et lui, et lui... Il pourrait enfin se concentrer sur sa mission.

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Mallory fixait le jeune homme qui semblait derouté, fuyant son regard derriere un verre comme si de rien n'etait mais la nervosité commencait réelement a le prendre et trahissait son embarras non dissimulé.

Elle fut presque amusée de cette reaction qu'elle pouvait provoquer chez d'autres, plongeant son regard percant de plus belle dans les prunelles troublés du jeune mortelle lorsque Merena se leva pour se dirigea vers une nouvelle arrivante.
Mallory oublia bien vite le jeune homme pour porter son attention sur la nouvelle venue qui semblait etre une lycanne, elle aussi. Elle la detailla un instant de haut en bas : les immortelles semblaient tous etre de belles creature en somme, dotés d'un charme et d'un charisme incroyable et cette nouvelle arrivante n' ecchappait pas a cette regle.

Mallory regarda les deux jene femmes discuter et les ecouta.
La denommée Kathleen semblait ne pas aller bien, comme si un sentiment passé venait de ressurgir pour la plonger dans des souvenirs lointains et brumeux..

Mallory ne fit meme pas attention quand le jeune homme du bar la bouscula malencontreusement, s'excusant avant de sortir de l'Insomnia. Toute son intention etait a présent porté sur les deux jeunnes femmes

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Merena observ la jeune lycanne sans vraiment comprendre ce qui lui arrivait. Elle reflechit un instant avant de lancer

"Reste ici, j'arrive."

Elle disparut quelques instant dans la foule avant de revenir accompagné d'un homme pas très net. Il ne semblait pas vraiment comprendre ce qui lui arrivait. Merena emmena alors la jeune lycanne avec elle, et fit signe à Mallory qu'elle sortait.

Merena faisait preuve de fermeté dans son geste, et il était presque impossible de lui refuser cela. Elles passèrent tranquilement la porte, ignorant de tout ce qui les entouraient, et se retrouvèrent derrière l'Insomnia, dans une ruelles deserte.

"Il faut que tu te nourisse, ta transformation à dut te couter chère en energie."

Elle laissa tomber l'homme au sol, il semblait complètement à la masse. Ce n'était pas le top pour un premier repas, mais c'était toujours mieux que rien en si peu de temps.

"Laisse toi envhair par ta faim, transforme-toi, et nourris toi..."

Merena avait parlé avec une pointe de sadisme derrière une regard de gardien de prison.

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Kath était soudain devenu plus docile que jamais, il est vrai qu’elle n’avait pas vraiment d’expérience dans le domaine des lycaons mais lorsqu’il suffisait de se nourrir elle pouvait le faire sans personne… Avec une pointe de fierté elle venait d’être piqué au vif, cette femme venait lui donner la becqué, mais cela n’était que pour l’aider, mais pour le coup Kath avait un tout autre problème que celui de la faim… Tout en restant aimable elle répondit à cette femme qui ne s’était pas encore présentée…

« je m’excuse de vous avoir fourvoyé sur mes intentions, je ne suis pas affamé enfin pas autant que cela, l’emprise de mon « géniteur » animal m’a transmis dans sa fureur un gêne bien malencontreux, qui me fait « perdre la tête » par moment… Et j’essaie tant bien que mal de trouver la force de le contrôle… »

Ses paroles filèrent comme le vent, à croire qu’il était facile de confier ses déboires à une femme comme celle qui venait de lui tendre une main bienheureuse. Son regard se posa sur l’homme à terre et sur le banc qui était là…

*Quand on voit ce que les pigeons ont fait sur ce banc, il faut remercier Dieu de ne pas avoir donné des ailes aux vaches*

Pensa t-elle avant de reprendre…

« Sans vous offenser, si je venais à me transformer, tout ce qui passerait aux alentour viendrai à être une proie pour moi…Et vous aussi… »

Kath avait cessé de parler soudainement, lorsque les gémissements de l’homme commencèrent à se transformer en hurlement,…
Bishop attrapa l’homme par le cou et serra suffisamment fort pour que celui-ci étouffe des grognement s de survit essayant de respirer…

« Mais maintenant que celui-ci est là, fraîchement cueillit, comme une rose en été, il serait dommage de le gâcher ? Non ? »

Le regarde de Kathleen était devenu effrayant, ses yeux traduisaient les pensés animales à l’encontre de cette chair si « délectable ».

Malgré le fait d’avoir vu le sosie de Philippe cela ne l’empêcha pas de retrouver son humanité, le passé était le passé et Celui qui est guidé par Dieu ne trouvera pas d’autre guide.
Celui que Dieu égare ne trouvera personne pour le tirer de l’erreur. Alors pourquoi Kath résisterait

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Sunshine se promenait tranquillement dans les ruelles de la ville, aucunement craintive, ni appeurée par la nuit noire et froide. Etant vampire, elle avait acquérit bon nombre de pouvoirs et de bénéfices. Tout compte fait, être devenue une créature nocturne n'était pas si mal.
Malheureusement, la jeune Sun' cherchait désespéremment une proie. En effet, celle-ci n'avait pas mangé depuis quelques heures déjà, et elle avait faim, terriblement faim... Oui, on peut dire qu'elle a un grand appétit. La soif de tuer peut-être ? Assouvir une force invisible en elle ?
Scrutant les moindres détails dans l'obscurité, elle souriait légèrement, ses différentes écharpes et rubans en soie voletaient grâce à la légère brise. Ses cheveux d'un roux éclatant étaient posés sur ses épaules blanches.

* Qu'est-ce qu'on s'ennuie quand les rues sont désertes... *

Sunshine fit une petite moue et tourna les talons, décidant de rendre une petite visite aux êtres humains et aux créatures qui peuplaient l'Insomnia.
Une fois devant le petit bâtiment tenté de couleurs sombres, elle remarqua le videur dans le tas d'ordures, et le deuxième presque appeuré. Pourtant, ne sachant pas à qui il avait à faire, il s'avança et regarda la jeune femme de haut en bas.

" On passe pas, demie-portion ! "

Un sourire mesquin se dessina sur ses lèvres et elle s'accroupit, lui faisant un croche-pied qui le fit tomber lourdement au sol. Elle sortit son katana et le pointa sous sa gorge.

" Tu disais ? "

Le videur ne répondit pas. Elle rengaina sa lame d'argent et cracha au sol.
Sun' dévisagea les personnes et s'approcha du groupe de lycans et de l'hybride.

Invité

hrp : ahh on m'attendais ? je voulais voir les reactions des autres vu que j'avais rien despécial à faire ... bon j'essaie de vous poster tout ca mais il est vrai qu'en ce moment je vais pas etre souvent la :s

Toujours assise au bar, Mallory avait vu s'éloigner les deux femmes derrière le batiment. La lassitude commencait à la prendre. Il fallait à tout prix qu'elle trouve des personnes de confiance afin de les entrainer dans un projet qui depassait l'entendement. Oui, aujourd hui les hybrides étaient une race récentes, craintes et considérés comme batarde mais cela allait bientot changer, oui, changer !

Mallory se leva, faisant virvolter ces cheveux d'un roux flamboyant avec une élégance déconcertante. Les changements qui s'étaient produit en elle étaient nombreux et à présent malgré son jeune age, Mallory etait une femme resplendissante, rien avoir avec la gamine aux mimiques maladroite et presque grossière ... Mais il y avait d'autres changements aussi qui aurait mieux vallu ne pas avoir ...

Merena semblait à présent tournée vers sa consoeur et ne plus être encline à la discussion qui pourtant était interressante. C'était une lycanne aux idées plus que suprenante mais encore seule dans cette ville immense. L'image d'un lycan lui revint alors à l'esprit : Drake. Un léger sourire se dessinna sur ses lèvres mais laissa bien vite place à un, emplit de colère. Mallory se souvint du garde qui l'avait enlevé pour la livrer au laboratoire. Dans cette ville, il fallait se méfier de tout et la confiance était une chose rare et précieuse...

Balayant ces idées de son esprit, Mallory reprit sa marche vers la porte de sortie . Elle passa devant le videur à présent allongé sur le sol de tout son long sans y faire attention, ni à la jeune femme d'ailleurs qui d'après son regard devait être la cause de tout ce remue ménage . Elle ne s'en faisait pas pour ce qui était de la lycanne car elle savait qu'elle la reverrait tôt ou tard..
Mallory s'eclipsa dans la brume, disparraissant aux yeux de tous dans la nuit noir et glacée..

suite = > Brother Parks

Invité

Calme, c'était le mot qui convenait...

Debout, seul sur la chaussée qui bordait l'insomnia, Philippe respirait de grandes goulées d'air pendant que le médicament produisait son effet relaxant. Il entendait à peine le bourdonnement grotesque qui sortait de la discothèque, les yeux mi-clos et profondément détendu, essayant d'oublier les images douloureuses de Kathleen agonisante qui lui remontait en mémoire tels les bulles vaseuses d'une marre fétide dans laquelle on vient de poser le pied, y perdant sa chaussure à l'occasion...

Ces images, ces souvenirs... Ils faisaient tellement mal. Philippe pensait à chaque fois, à tort, être guéri de cette douleur lacsinante qui le prenait aux tripes. Mais à chaque fois, c'était pareil. Il suffisait d'un rien pour qu'il y repense, comme ici cette femme qui ressemblait à sa Kate bien aimé...

Dans un profond soupir, il émergea de son état de détresse pour entrer dans l'euphorie éphémère produite par les calmants.
Pendant un cours instant, il lui semblait que la voute étoilée n'avait jamais été aussi belle, alors qu'elle était en réalité tacheté d'une brume crasseuse pleine de gaz d'échappement...

Philippe revint à la réalité quand il entendit un choc sourd ainsi que le chuintement d'une lame se produire derrière lui. A quelques mètres se tenait un videur, au sol, et une femme lui pointait un katana sous la gorge.

Il devait rêver, aucune personne censée ne laisserait courir les rues à une femme qui porte une arme comme celle-ci à la ceinture...

Il se tapa sur la tête. Qu'il était bête... Il ne se rappelait même plus dans quel genre de ville il avait remis les pieds. Evidemment, cette femme était forcément une immortelle. Et sa longue crinière rousse faisait sûrement d'elle une membre du club des rouquines qu'il avait précédemment espionné.

Il la regarda cracher par terre, rengainer son arme, et se dirigea d'un pas souple vers une ruelle derrière la discothèque, imitée prudemment par l'amalanthien qui se faisait discret.

La créature de la nuit franchit l'intersection et déboucha dans une rue qui jouxtait l'insomnia, une rue que l'on aurait dite déserte... ou presque. La jeune femme se porta vers un autre groupe de fille, que Philippe reconnu comme étant lesdîtes rouquines. Celà conforta le jeune homme dans son opinion. Les filles étaient bien des immortelles, et lui il les avaient débusqué..

La joie fut de courte durée. En effet, il apperçut, caché comme il le pouvait par l'angle de la ruelle, que les rousses fatales se tenaient autour d'un homme, plus soûle qu'autre chose et en mauvaise posture.

Philippe toisa avec horreur la sosie de Kathleen se saisir de l'homme par la gorge et de le porter bien au dessus du sol, d'une seule main. Cette femme lui ressemblait de façon troublante, si troublante que Philippe en oublia presque le malheureux pour porter un regard envieux sur cette créature, si belle à son coeur.

Il secoua la tête brusquement. Ce n'était pas Kathleen, ce n'était pas sa fiancée. Ce n'était qu'une ignoble sale bestiole carnassière qui se repaissait du sang ou de la chair des mortels pour vivre. Une abération indigne de Dieu, promise au Malin et à l'enfer.

Cette pensée balaya toutes les autres sur son passage. Il avait le devoir sacré de traquer toutes les choses qui l'avait fait tant souffrir, toutes les choses qui insultaient Dieu en se nourrissant de ses enfants.

Il devait trouver le moyen de secourir le pauvre homme, et vite.

Il dégaina tout doucement son revolver et tira le chien vers lui, étouffant le cliquetit en le cachant sous sa veste de cuir noire. Il fit un signe de croix et adressa une brève prière à Dieu, tout en pointant le canon de son arme sur la sosie de Kathleen.

Il ferma les yeux, pensant de toutes ses forces à autre chose quand il visa le bras de l'immortelle. Il ne tirait pas sur Kathleen, et il devait se tenir à cette idée, parce que dans les autres cas de figure l'homme mourrait.

Il détourna le regard, inspira profondément, et pressa sur la détente.

La détonation retentit violement dans toute la ruelle et résonna jusqu'à l'entrée de la discothèque pendant que la balle dum-dum fendait l'air à toute vitesse, percutant le bras de la rousse volcanique dans une gerbe de sang et de chair, dans un horrible concerto d'os brisé par l'impact.

Un cri se fit entendre et Philippe rouvrit les yeux. Il bondit hors de sa cachette et expédia une autre balle, explosive cette fois-ci, dans l'inconnue au katana. Celle-ci, trop surprise par la tournure des évènements, fit un légers vol plané quand le projectile vint exploser dans son flanc et attérits lourdement sur le sol, à bonne distance du jeune homme bravache.

Il ne savait pas quelle serait le type de sa prochaine balle, explosive ou dum-dum, mais il était prêt à la faire goûter aux rousses fatales.

Son arme tendue devant lui, Philippe s'écria violement:

" Monstres ! Laissez cet homme tranquille ! La première qui esquisse le moindre geste s'en prend une dans la tronche !.."

Il s'adressa d'une voix plus douce, mais toujours ferme, au malheureux qui rampait au sol, totalement perdu. L'odeur de la chair brûlée commençait à envahir la ruelle et Philippe redoublait d'efforts pour ne pas regarder la femme qui tenait son bras réduit en charpie qui innondait le sol de son sang.

" Par ici, monsieur, dirigez vous vers ma voix, comme ça... Voilà, plus que quelques mètres et vous y êtes...."

Invité

[hrp : klan daniels, j'ai suprimé ton message parce qu'il y a déja pas mal de monde sur ce post, il ne faudrait pas que les msssage défile a tout vitesse sans que les joueurs puissent retrouver ceux qui les concerne]

Invité

Kathleen avait le bras en charpie, l’autre rousse semblait ne plus avoir de réaction, ou était-elle déjà partie ? Bref ce n’était pas le moment de s’endormir, kathleen avait du mal à se régénérer car elle ne s’était pas nourrie depuis plus de 24 heures…

Elle fixait l’espèce d’éponge puant l’alcool qui rempait sur le sol.On aurait dit une PINTADE hallucinée qui se prend pour la plus belle volaille du monde. Le plus étrange est qu’Il était le seul qui pouvait lui servir de repas dans l’immédiat, mais le plus frappant était l'impression de crachat froid qu'il dégageait.

Elle jeta un œil sur l’espèce de fourbe, qui la blessa…

« Petit l'imbécile imprévisible qui se prend pour Dieu, arrogant et pontifiant, qui vous écrase d'un mépris insultant, tu es du genre à être flattez de préférence grossièrement jusqu'à la flagornerie. »

Elle se jeta comme un animal emprise d’une rage sans précédent sur la pintade, ou plutôt l’homme qui gisait à terre, elle en dévora une partit, pendant que kath se transforma partiellement en une louve monstrueuse, au pelage roux soyeux…

…

Elle reprit sa forme normal et leva les yeux sur le jeune suicidaire et lui bondit dessus… son arme glissa trop loin pour qu il puisse l’atteindre et la force de kathleen mêlé à la surprise de son attaque ne permis pas au jeune homme de se défendre il était à sa merci.

Mais tout ne se passa pas comme nous l’aurions présagé…
Elle fit comme pour le renifler, le visage de la jeune femme qui était déformé par la rage commençait à prendre des traits plus tendres, voir angélique…

« Tout ton aspect respire la plus grande gentillesse à cause de ton dévouement…mais là est le leurre »

La lycane semblait soudain rentrer dans un état second, la voilà partit dans une débauche délirantes de souvenirs douloureux refaisait surface…

« Tu pratique le mal comme d'autres font de la dentelle ou de la tapisserie. D'abord on pardonne vingt fois, cent fois et même après quand on est quittée, parce qu'il faut des années pour comprendre le mobile de son crime, justement il n'y en a pas. C'est la méchanceté pour la méchanceté. Mais voilà, il ne la dissimule pas, elle est à l'état pur, autant qu'un diamant noir puisse l'être. Elle se présente sous la forme spontanée et affable d'un enfant qui renverse journellement votre lessiveuse quand vous pendrez le linge »

Son étreinte était de plus en plus forte au fil de ses mots… l’odeur de Philippe lui revenait doucement … Elle avait le cœur qui coulait dans la main, comme une pierre prêtes à vous la lancer contre la tête… C’était bien lui… Lui qui vouait sa vie à un être surnaturelle qui ne l’avait pas aider à redevenir ou à rester humaine…

« Celui que vous considérez comme votre dieu, le sauveurs de nos âmes perdues, m’a brisé quotidiennement le coeur avec un sourire de bébé adorable, et c'est pour cela que vous ne pourrez pas vous défendre car on pardonne toujours à un gosse. Vous ne chercherez même pas à vous sauver tellement vous serez stupéfaits de sa sérénité dans l'actionnement de votre supplice...!!! »

Kath regardait maintenant dans le regard de Philippe, on aurait dit que mille étoiles baignaient dans un torrent de larmes prêtent à pourfendre l’écluse de son cœur…la lycane ne savait plus ou était sa place...réalité de la mort...?

« Il attendra que vous soyez amoureuse pour vous détruire le système nerveux et vous faire sombrer dans la démence…. »

Invité

Maudîte bête, un lycan de surcroît...

Que lui était il arrivé, pourquoi n'avait il pas tiré plutôt que de regarder avec horreur la sosie de Kathleen se transformer en montre et dévorer le malheureux ?

Philippe en avait la nausée, sa tête avait violement heurté le sol et l'espace lui paraissait irréel, tourbillonant devant ses yeux comme pour le narguer. Mais ce qui le dérangeait le plus en cet instant, c'était de se retrouver au sol, à la merci de l'infâme créature et sans son arme.

La lycanne avait reprit une forme humaine et son visage, à quelque centimètre de celui de Philippe, refflètait avec violence un état de folie à peine contenue, une envie de tuer significative...

Elle était complètement nue sur lui, le paralysant de tout son poid et de la force insoupsçonnée de ses membres. Elle était belle, diaboliquement belle. Et chacune de ses courbes gracieuses le faisait frémir d'envie tant elle ressemblait à sa défunte fiancée. Mais ce n'était là qu'un subterfuge destiné à le perdre, une diablerie digne de ces monstres, ou simplement son imagination torturée qui lui jouait des tours. Kathleen était morte et enterée. Il devait absolument s'en tenir à ça.

Alors il la regarda droit dans les yeux pendant qu'elle lui envoyait avec amertume un discour incompréhensible. Il se demandait même s'il était bien le destinataire de ces paroles si sombres et empruntes de tant de hargne.

Pourtant, une chose était sûre: c'est que, perdue dans sa démence, la lycanne semblait n'avoir aucune envie de le tuer. Peut être lui reservait elle un châtiment pire encore ?...
Le jeune homme lança un regard furtif vers son arme, malheureusement trop loin pour qu'il puisse la saisir. Il était dans de sales draps.
De plus, l'autre rouquine semblait inactive, mais elle ne tarderait pas venir réclamer sa part. Quand à la dernière, affalée par terre, elle semblait encore trop surprise par le choc pour esquisser le moindre geste.

Philippe se sentait pitoyable... Il s'était laisser avoir par ses souvenirs, il n'avait pas tiré parce que la jeune femme ressemblait beaucoup trop à Kathleen.

Et plus elle lui parlait, plus ses sentiments de détresse profonde prenait le dessus. Il voulait croire qu'elle était celle qui l'aimait. Il voulait qu'elle le prenne dans ses bras, qu'elle l'embrasse, qu'elle lui fasse l'amour...

Toutes ses pensées se mélangèrent dans le maëlstrom de la folie et de la dépression. L'horrible sensation de basculer de l'autre côté de la raison voilà son visage et le tordit dans un rictus de douleur.

Mais cette déferlante de démence se heurta au dernier bastion de conscience et de raison dans toute cette névrose, et les murs solides de la foi stoppèrent net ses délires. Il reprit ses esprits et son visage se figea. Les monstres l'avaient encore humilié, mais Dieu veillait sur lui, il en avait la certitude.

Il donna donc un violent coup de genou à l'endroit où aurait dû se trouver les parties molles si la lycanne avait été mâle, et profita de l'absorption de cette dernière par ses paroles insencées se débattre avec férocité.

Dans la force du désespoir, il parvint à destabiliser suffisemment la lycanne pour parvenir à ramper sur le sol sur quelques mètres, distance suffisante pour qu'il reprenne son arme dans un souffle.

A bout de nerf, destabiliser par l'expérience douloureuse qu'il venait de subir, il tira à l'aveuglette ses quatres balles restantes dans la direction des deux rouquines.

Il ne prit même pas la peine de voir si elles avaient été touché. Peu lui importait en réalité, il voulait juste fuir cette femme maudîte qui lui mettait la tête à l'envers et le coeur en charpie. Il se releva en titubant, le plus vite possible, et franchit à grand peine la ruelle pour en revenir devant l'insomnia.

Prit d'hystérie, il chercha son sac des yeux avec des étincelles dans les yeux, du feu dans les poumons. Il se jeta sur la forme oblong de celui-ci dès qu'il le repèra, ouvrant à toute vitesse ses sacoches à la recherche de ses speed loader...

Invité

Kathleen était maintenant à terre immobile et le sang, son sang qui coulait hors de ses veines tel du chocolat fondu, chaud et épais, sur deux belle poires bien fermes…

Elle était sereine, les balles s’extrèrent une à une, elle avait reçut les quatre que lui avait envoyé Philippe…

Philippe…

…

Elle n’avait plus la force de pouvoir en supporter plus, dans le désespoir et la douleur d’être ce qu’elle était, d’avoir été renier par dieu, elle se releva difficilement sous le poids de ses désillusions et vint se blottir dans un coin, recroqueviller sur sa nudité…
Pourquoi dieu la punissait encore, n’était-il pas suffisant de lui enlever ce qui représentait toute sa vie, comment pouvait-elle retrouver son passé, et Philippe comment pouvait-il encore la voir comme une femme, comme la femme qu’il avait tant aimé !?
Kathleen, était maintenant dans la position du foetus, et le torrent de larmes précédent venait de se déversé comme les chute du Niagara.

La jeune femme pensait que ses sentiments étaient aussi ternes que les pommes de terre qui sortent du labour, depuis toutes ses années de mort vivante. Mais le fait d’avoir revu Philippe fut comme une « bien », elle qui cherchait ce qui pouvait contrôler cette démence, rien que l’odeur de ce mâle faisait des miracles. Mais le plus douloureux était le fait que celui-ci la considère comme un monstre… c’Est-ce qu’elle était…

Kath était un état peu tenable pour qui la connaissait bestiale et haineuse. A cet instant elle n’était plus qu’une larve, rebut fécal d’une pauvre mouche bleu… Elle ne souhaitait plus qu’une chose, la mort…

Elle prendra le ciel à témoin de ses douleurs, jurant l'importance de la garder dans cet endroit car inconsolable. Et par ses démonstrations ostentatoires d'égarée, éparpillant ses larmes de crocodiles sur la bière inerte. Insistant en restant dans la fosse, pour partager l'éternité de sa déchéance…

En somme, kathleen était entrain de pleurer de douleur… Simplement redevenu une femme… Une femme brisée par la vie…et par ce cadeau diabolique qui lui avait fait Satan lui-même…

Invité

Philippe trouva enfin ce qu'il cherchait. il sortit à toute vitesse une boite mettalique de bonne taille qu'il ouvrit prestemment.

A l'interieur se trouvait trois speed loader, un rouge pour les balles explosives, un orange pour les dum-dum et un blanc pour balle mixte. Outre ses trois outils, la boite était pleine à craquée de munition déposées à la va vite, comme s'il avait vidé les contenants dedans.

Il happa le rouge qu'il mit dans sa bouche le temps de délivrer les douilles fumantes sur le sol. Il enfonça les balles explosives dans leurs emplacement en un rien de temps, rangea ses affaires à la va-vite, et réarma son arme.

Au loin le grandement du tonnerre se fit entendre, et il ne fallut pas une minute pour qu'une pluie drue ne s'abatte sur le sol. Saleté de pays...

Il saisit son sac et alla le poser contre le mur de la ruelle avant de prendre une poignée de munition dans sa boîte qu'il enfourna dans sa poche.

Les rousses n'avaient pas l'air d'avoir réagit. Elles s'étaient peut être enfuies ?

Philippe n'y croyait pas trop. Il soupira un grand coup et s'enfonça à nouveau dans la ruelle, son colt python pointé devant lui, prêt à faire feu au moindre signe suspect.

Il franchit l'intersection d'un bond et inspecta la ruelle nerveusement. Il n'y avait plus personne, mais la pluie brouillait la vision et rendait les zones d'ombre encore plus vicieuses qu'elles ne l'étaient déjà...

Le jeune homme commençait à être trempé. Sur sa veste de cuir coulait à grosse goûte cette eau pleine de poussière, de gazs d'échappement et d'autre produits invariablement sales...

Son regard fut attiré par une flaque de sang qui se diluait dans ce que l'on appelait grossièrement de l'eau. Des tâches laissaient une piste qui menait à un renfoncement obscur.

Philippe inspecta encore une fois les environs.
Nul signe des rouquines, pas même de celle au katana. Qu'est-ce qu'elle étaient devenues ? Où avaient t'elles bien put disparaître ?
C'était sûrement un piège, les marques devaient mener droit à une embuscade savament préparé par ces harpies.

Perdu, hésitant, il recoiffa une meche de cheveux humide qui lui tombait sur les yeux. Il cracha cette eau infect qui tombait du ciel, comme si satan lui même lui urinait dessus, portant encore l'humiliation à un degré supérieur.

Cette femme... Elle avait essayé de lui faire comprendre quelque chose dans tout ce charabia incompréhensible... Elle ressemblait tellement à Kathleen, ce pourrait il que... Non, impossible, c'était là l'oeuvre d'un esprit dément, d'un individu calculateur qui voulait le faire sombrer dans la folie, probablement pour nuire au père Constant, c'était sûrement ça.

Philippe n'y tenait plus. Tant pis, il fallait qu'il sache, ou qu'il tue cette abomination qui jouait avec sa douleur.
Il se dirigea avec une extrême prudence vers le renfoncement, scrutant l'obscurité à la recherche d'un quelconque piège, d'une éventuelle lame traîtresse qui le décapiterait...

Il ne trouva rien d'autre qu'une femme éplorée, transit par le froid et recroquevillée comme un enfant.
Elle était nue et trempée, signe qu'il s'agissait de la sosie de Kate. Le fait qu'elle pleurait dans une flaque de sang n'était qu'un détail, peut être un stratagème destiné à lui faire prendre pitié. Qui sait ce dont était capable ces horreurs ?..

Il braqua le canon de son arme droit sur la tête de la rousse. Il n'avait qu'à presser la détente et le cauchemar serait finit... Rien qu'un mouvement brusque du doigt, une simple contraction de muscle...

Une minute passa lentement alors qu'il tenait en joue cette créature qu'il savait abjecte mais que tout son être refusait de détruire au nom de ses sentiments.

Sa main fut secoué de spasme alors qu'il faisait de terribles efforts pour ne pas fondre en larme. La pluie grossière aurait masqué ses pleurs, mais pas sa totale impuissance à faire ce qui était nécessaire. Il avait l'impression grandissante qu'il ne fallait pas tuer cette bête, que ce serait la pire chose de toute sa vie.

Il fallait qu'il sache.

De sa main gauche tremblottante, il sortit de la poche interieure qui se trouvait près de son coeur une petite photo, icône inestimable à ses yeux... Une photo de Kathleen...

Il la tendit en serrant les dent à la femme asise sous ses yeux, son revolver toujours braqué sur elle.
Il ne parvint à réfrèner quelques larmes qui roulèrent sur son visage.

" Qui c'est ! Dis moi qui c'est sur la photo ! Dis le moi !..."

Hurla t'il au visage de la créature dans un élan rage et de tristesse.

Il voulait savoir s'il ne s'était pas trompé. Il savait au fond de lui la chose impossible, mais il carressait l'espoir d'un miracle de Dieu, c'était tout ce qui le tenait en vie.

Il arma le chien de son colt et raffermit son étreinte sur son arme. Il s'apprêtait à détruire ce qui le tenait le plus à coeur, mais il le ferait sans hésité.

Il n'y avait qu'une chance sur un million...